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ACTIONS ?
Actions
en cours
Le but du CRAC
Des premiers résultats ... encourageants
Rappel de la situation
La situation va s'aggraver
L'historique de nos actions
Les statuts de l'association
Actions
en cours
- Le CRAC a étudié le dossier d'analyse de risques (étude
de danger - AMDEC) de l'enquête d'utilité publique de juillet
2000 en vue de la prolongation de l'autorisation provisoire d'exploitation
de la centrale : cliquer
ici pour un compte-rendu édifiant des graves carences de cette
étude.
- Le CRAC demande d'urgence un entretien à tous les responsables
de la situation actuelle (Exploitants actuel et à venir de la centrale,
Syndicat inter-communal propriétaire et municipalités, Préfecture).
- Parmi les politiques, la Secrétaire d'Etat au Logement
via sa conseillère technique Mme Le Néouannick et le Ministère
de l'Environnement (direction de la prévention des pollutions
et des risques) via sa conseillère technqiue Mme Blanc ont pour
l'instant acceptés de rencontrer le CRAC
- Premier entretien : Mr PRINCE, Directeur Général de CLIMADEF
du 21 mai 2001 : cliquez
ici pour le compte-rendu.
- Deuxième entretien : Mairie de Courbevoie le 28 mai 2001 : cliquez
ici pour le compte-rendu.
- Compte-rendu de la première réunion du CLIS (Commission
Locale d'Information et de Sécurité) du vendredi 29 juin
2001 en Préfecture (bientôt en ligne).
- Troisième entretien avec le Président Directeur Général
d'ENERPART, le mardi 10 juillet 2001 pour présentation du projet
pré-sélectionné par le SICUDEF (bientôt en
ligne).
- Le CRAC contacte plus de 60 responsables administratifs et politiques
(villes, département, région et ministères) au sujet
de la reconstruction de la centrale.
Détail de la campagne courrier :
tableau des courriers aux ministères et tableau
des courriers aux organismes.
- Le CRAC envisage d'organiser une manifestation de protestation
dans le quartier du Faubourg de l'Arche : parcours prévu de la
centrale CLIMADEF au siège du SICUDEF à la Défense.
Le but du CRAC
L'association a pour but la défense des habitants du quartier Faubourg
de l'Arche et des quartiers limitrophes susceptibles de subir les nuisances
de la centrale de chauffe et de climatisation et d'être exposés
au dangers.
L'association pourra
notamment :
- Oeuvrer par tous
moyens légaux pour la délocalisation de cette centrale
en zone industrielle.
- Exercer une surveillance
sur les activités du propriétaire de la centrale, actuellement
le SICUDEF, et ses exploitants
actuels et à venir, afin de s'assurer du respect de l'environnement
et de la santé publique, pour la sécurité, la santé
et le bien-être des riverains.
- Oeuvrer pour obtenir
des exploitants, actuels ou futurs de toutes nouvelles installations,
la mise en place des Meilleures Techniques Disponibles (MTD) en terme
de réduction des nuisances et des riques présentés
par l'installation, pour la santé et la sécurité
des riverains.
- uvrer pour
garantir le droit aux riverains d'être informés par affichage
public des analyses effectuées, les nuisances réelles
et les dangers réels et potentiels générés
par la proximité d'une telle installation.
- uvrer à
la mise en place de dispositifs fiables de concertation dans un but
de transparence et de dialogue, dans un but participatif.
Cette liste n'est
pas exhaustive.
Des
premiers résultats ... encourageants
Une "poignée" de riverains contre des intérêts
économiques énormes ...
En dépit de l'apparent déséquilibre des forces en
présence, le CRAC ne se décourage pas.
Dans la liste des 98 arrêtés préfectoraux (bientôt
en ligne sur ce site) conditionnant l'autorisation de fonctionnement de
la centrale "provisoire", nous trouvons des raisons d'espérer
sortir un jour de cette situation dangereuse.
Mais la vigilance reste de mise, d'autant qu'au travers de l'interview
de Mr. Prince - directeur de Climadef - (Le
Parisien du jeudi 26 avril 2001), la volonté du SICUDEF de
reconstruire la centrale sur place est affirmée.
Augmentation
du rythme des prélèvements et analyses d'eau.
Dans le cadre de la lutte anti-légionnelles, il y a maintenant
2 analyses par mois (24 par an), au lieu des 2 analyses annuelles antérieures
à l'action du CRAC.
Eloignement
des TAR (Tours Aéro-Réfrigérantes) et réduction
des nuisances sonores : c'est fait ! |
En réponse
aux conditions de l'arrêté préfectoral d'Août
2000, l'industriel a procédé au déplacement des
TAR et à l'isolation sonore de l'unité de production
d'eau glacée. |
Le CRAC se félicite
de cette avancée très positive pour les conditions
de vie des proches riverains mais les risques industriels et sanitaires
demeurent.
|
Concertation
avec les associations de riverains |
Une Commission
Locale d'Information (CLI) permet à toutes les parties d'échanger
informations et opinions. Le CRAC y dispose de deux sièges.
Les associations Environnement 92 et Naturellement Nanterre y sont
également représentées.
Voir rubrique "comptes-rendus".
Le STIIC (Service Technique d'Inspection des Installations Classées)
propose des pistes intéressantes lors de la séance du
conseil départemental d'hygiène publique du 6 février
2001. |
|
Rappel
de la situation
Notre équipe a engagé
une succession d'actions dans le but de comprendre la situation, qui nous
apparaissait initialement comme très opaque
Elle l'est toujours !
Par quel mauvais miracle la décision de coller une ZAC de 15 000
habitants à 2 mètres d'une centrale (relevant de la direction
des installations classées
)
et de ses nuisances a-t-elle pu être prise, de surcroît avec
l'aval du conseil municipal de l'époque, du conseil général
des Hauts de Seine de l'époque, de la Direction de l'Aménagement
du Territoire, de la préfecture des hauts de Seine c'est à
dire de l'état
Une telle absurdité reste incompréhensible.
Avoir maintenu en l'état une telle décision, alors même
qu'en février 1994 la centrale fait preuve de sa dangerosité
en explosant (4 morts) et continué comme si de rien n'était
la construction de la ZAC est simplement scandaleux.
La
situation va s'aggraver (si on ne bouge pas
! )
Sous prétexte que cette situation est maintenant une situation
de fait , les décideurs (le SICUDEF,
propriétaire de la centrale, syndicat intercommunal regroupant
les 3 villes de Courbevoie, Nanterre et Puteaux) veulent la maintenir,
sinon l'aggraver.
- La maintenir car
il est bel et bien prévu que la centrale, contrairement à
tout ce qui a pu être raconté aux premiers habitants du quartier,
et aux espoirs de ces derniers mois concernant sa délocalisation
totale en zone industrielle à Nanterre, va rester ici, au faubourg
de l'arche.
Ce point doit très certainement figurer en bonne place dans l'appel
d'offre de reconstruction auquel nous n'avons bien sûr pas pu avoir
accès
- L'aggraver car d'une
part le nombre des habitants (victimes potentielles des nuisances) augmente
d'année en année, la population maximale du quartier sera
atteinte d'ici 2 à 3 ans avec 15 000 résidents.
L'aggraver car d'autre part, la puissance de nouvelle centrale va augmenter.
En effet, de nouvelles tours voient le jour à la Défense,
et ces nouvelles tours seront chauffées et surtout climatisées
par la centrale.
Conclusion :
Pourquoi entériner une absurdité ? Nous ne pouvons pas croire
que la santé de 15 000 personnes ne pèse pas face aux considérations
financières immédiates. Une fois de plus, le modèle
économique, s'il y en a un, qui prévaut à la reconstruction
in situ de la centrale, ne prend pas en compte le coût induit par
les nuisances, ni le coût exorbitant d'un accident ou d'une épidémie
de légionellose
Quid du fameux principe de précaution ? Il a beaucoup de mal en
entrer dans les murs des décideurs
Les
statuts de l'association
STATUTS
DE L'ASSOCIATION CRAC
Collectif des Riverains Anti-Centrale
I. FORMATION
ET OBJET DE L'ASSOCIATION
ARTICLE
PREMIER :
Il est formé entre les soussignés et toutes autres personnes
adhérentes aux présents statuts, une association régie
par la loi du 1er juillet 1901, les lois subséquentes et les présents
statuts.
ARTICLE 2 :
L'association prend la dénomination suivante : "CRAC, collectif
des riverains anti-centrale".
ARTICLE 3 :
L'association a pour but la défense des habitants du quartier Faubourg
de l'arche et des quartiers limitrophes susceptibles de subir les nuisances
de la centrale de chauffe et de climatisation et d'être exposés
aux dangers.
L'association pourra
notamment :
1- Oeuvrer par tous moyens légaux pour la délocalisation
de cette centrale en zone industrielle.
2- Exercer une surveillance sur les activités du propriétaire
de la centrale, actuellement le SICUDEF, et ses exploitants actuels et
à venir, afin de s'assurer du respect de l'environnement et de
la santé publique, pour la santé et le bien-être des
riverains.
3- Oeuvrer pour obtenir des exploitants, actuels ou futurs de toutes nouvelles
installations, la mise en place des Meilleures Techniques Disponibles
(MTD) en terme de réduction des nuisances et des risques présentés
par l'installation, pour la santé et le bien-être des riverains.
4- uvrer pour garantir le droit aux riverains d'être informés
par affichage public des analyses effectuées, les nuisances réelles
et les dangers réels et potentiels générés
par la proximité d'une telle installation.
5- uvrer à la mise en place de dispositifs fiables de concertation
dans un but de transparence et de dialogue, dans un but participatif.
Cette liste n'est
pas exhaustive.
ARTICLE 4 :
Le siège social est fixé au 6 rue le Tintoret - 92400 Courbevoie.
ARTICLE 5 :
La durée de l'association est illimitée.
II. COMPOSITION DE
L'ASSOCIATION
ARTICLE 6 :
L'association se compose de membres souscripteurs.
Sont dits membres souscripteurs, toutes les personnes physiques ou morales
intéressées à la réalisation des buts de l'association
qui adhèrent aux présents statuts. Les membres souscripteurs
verseront une cotisation annuelle, dont le montant sera fixé chaque
année par le Conseil d'Administration. Les membres souscripteurs
doivent être agréés par ce dernier.
Les adhésions sont annuelles. Le Conseil d'Administration statue
souverainement sur toutes les demandes d'adhésion.
Dans le cas du refus d'une demande, sa décision n'est pas motivée
et est sans appel.
Le Conseil d'Administration pourra en outre décerner le titre de
membre d'honneur à toutes les personnalités ayant rendu
des services signalés à l'association, ce titre ne comportant
aucune obligation, ni droit particulier.
ARTICLE 7 :
Chaque exercice court du 01 avril au 31 mars.
Toutefois le premier exercice ne commencera que le 10 avril 2001.
ARTICLE 8 :
La qualité de membre de l'association se perd :
- Par le décès, par la démission, celle-ci devant
parvenir par lettre recommandée, au président de l'association,
qui en accuse réception. Le président peut, quant à
lui, mettre fin à ses fonctions en cours de mandat en informant
de cette décision le Conseil d'Administration, convoqué
à cet effet.
- Par radiation prononcée par le Conseil d'Administration pour
motif grave, le membre intéressé ayant été
appelé préalablement à fournir toutes explications.
La décision du Conseil d'Administration est sans appel et, de convention
expresse, ne peut donner lieu à aucune action judiciaire quelconque,
ni à aucune revendication quelconque sur les biens de l'association.
ARTICLE 9 :
Le patrimoine de l'association répond seul des engagements contractés
par elle, sans qu'aucun des membres de cette Association, même ceux
qui participent à son administration, puissent en être tenus
personnellement.
III. ADMINISTRATION
ARTICLE 10 :
L'association est dirigée par un Conseil d'Administration composé
d'au moins trois membres. En cas de décès ou de démission
d'un membre du conseil, le conseil nomme provisoirement les membres complémentaires
dont les fonctions expireront lors de la prochaine Assemblée Générale.
Les membres du Conseil d'Administration nommés par l'Assemblée
Générale en remplacement d'un membre décédé
ou démissionnaire ne restent en fonction que pendant le temps qui
restait à courir par le membre décédé ou démissionnaire
qu'ils remplacent.
Si l'association venait à intégrer de nouveaux membres,
elle serait administrée selon les dispositions de l'article 11
et suivants des présents statuts.
Nul ne peut faire partie du conseil s'il n'est pas au moins âgé
de 15 ans révolus.
ARTICLE 11 :
Le Conseil d'Administration choisit parmi ses membres, un bureau composé
d'au moins 3 personnes :
Un président,
Un secrétaire,
Un trésorier.
ARTICLE 12 :
Le Conseil d'Administration se réunit chaque fois qu'il est convoqué
par son président et au moins une fois tous les 6 mois.
Il peut convoquer à ses réunions, à titre consultatif
tous membres de l'association dont la compétence professionnelle
sera utile à l'objet de ses travaux et constituer, avec leur concours,
des commissions d'études pour un objet déterminé.
Dans toutes les réunions du conseil, les membres du conseil ont
seuls voix aux délibérations. En cas de partage des voix,
la voix du président est prépondérante.
Pour la validité des délibérations, le quart au moins
des membres du conseil doit être représenté.
Les procès-verbaux des séances du conseil sont inscrits
sur un registre spécial, ils sont signés par le président
et le secrétaire.
Tout membre du conseil qui, sans excuse, n'aura pas assisté à
trois réunions consécutives, pourra être considéré
comme démissionnaire.
ARTICLE 13 :
Les fonctions des membres du conseil sont gratuites.
ARTICLE 14 :
Le président convoque les Assemblées Générales
et les réunions du Conseil d'Administration. Il représente
l'association dans les actes de la vie civile et est investi de tous pouvoirs
à cet effet. Il a notamment qualité pour représenter
l'association en justice comme défendeur avec l'autorisation du
Conseil d'Administration. Il peut former, dans les mêmes conditions,
tous appels, pourvois et consentir toutes transactions.
Il préside toutes les assemblées. En cas d'impossibilité,
il désigne son remplaçant parmi les membres du Conseil d'Administration.
ARTICLE 15 :
Le secrétaire est chargé de tout ce qui concerne la correspondance
et les archives. Il rédige les procès verbaux des réunions
ou assemblées, et, en général toutes les écritures
concernant le fonctionnement de l'association, à l'exception de
celles qui concernent la comptabilité.
Il tient le registre spécial prévu par l'article 5 de la
loi du 1er juillet 1901 et les articles 6 et 31 du décret du 16
août 1901. Il assure l'exécution des formalités prescrites
par lesdits articles.
ARTICLE 16 :
Le trésorier est chargé de tout ce qui concerne la gestion
du patrimoine de l'association, il effectue tous paiements et reçoit,
sous la surveillance du Président, toutes sommes dues à
l'association. Il ne peut aliéner les valeurs constituant le fonds
de réserves qu'avec l'autorisation du Conseil d'Administration
;
Il tient une comptabilité régulière de toutes les
opérations par lui effectuées et rend compte à l'Assemblée
Générale annuelle qui approuve, s'il y a lieu, sa gestion.
Il dispose de la signature sur les comptes de l'association.
ARTICLE 17 :
Le Conseil d'Administration assure l'exécution des décisions
de l'Assemblée Générale et est investi des pouvoirs
les plus étendus pour faire ou autoriser tous actes qui ne sont
pas réservés à l'Assemblée Générale.
Il surveille la gestion des membres du Conseil d'Administration et a toujours
le droit de se faire rendre compte de leurs actes.
Il peut interdire au président ou au trésorier d'accomplir
un acte qui rentre dans leurs attributions d'après les statuts,
et dont il contesterait l'opportunité.
Il peut, à la majorité, en cas de fautes graves, suspendre
provisoirement les membres du Conseil d'Administration en attendant la
décision de l'Assemblée Générale qui, dans
ce cas, peut être convoquée.
Il se prononce souverainement sur toutes les admissions ou radiations
des membres de l'association.
Il fixe les sommes qui peuvent être dues au président, au
trésorier ou au secrétaire pour leurs diligences, sans que
ces allocations puissent avoir le caractère d'un traitement, toutes
fonctions dans l'association étant gratuites.
Il établit chaque année les comptes de l'exercice clos et
le projet du budget à soumettre à l'assemblé.
Il fixe le mode et le montant des cotisations.
IV. RESSOURCES DE
L'ASSOCIATION
ARTICLE 18 :
Les ressources de l'association comprennent les subventions qui pourront
lui être accordées par les collectivités publiques
(Etat, département, communes
) destinées à lui
permettre d'atteindre les buts qu'elle propose. Elles pourront comprendre
également les cotisations et dons de ses membres adhérents.
ARTICLE 19 :
Il est tenu au jour le jour une comptabilité deniers par recette
et par dépenses.
V. ASSEMBLEES GENERALES
ARTICLE 20 :
L'Assemblée Générale représente l'association,
et ses décisions, prises régulièrement, obligent
les dissidents et les absents non représentés. Elle se compose
de tous les membres de l'association, à quelque titre qu'ils y
soient affiliés.
ARTICLE 21 :
Les Assemblées sont ordinaires ou extraordinaires. Elles sont présidées
ainsi qu'il est dit à l'article 12.
L'Assemblée Générale ordinaire a lieu une fois par
an sur convocation individuelle du Président du Conseil d'Administration
ou par voie de presse, au moins 15 jours à l'avance.
L'Assemblée Générale extraordinaire peut être
convoquée, en cas de circonstances exceptionnelles, par le Président,
sur avis conforme du Conseil d'Administration, ou sur demande écrite
d'un cinquième au moins des membres inscrits déposés
au secrétariat ; en ce dernier cas, la réunion doit avoir
lieu dans les trente jours qui suivent le dépôt de la demande
au secrétariat.
Pour toutes les Assemblées, les convocations doivent être
adressées au moins quinze jours à l'avance et indiquer l'ordre
du jour.
Seront traitées prioritairement, lors de l'Assemblée Générale,
les questions soumises à l'ordre du jour
ARTICLE 22 :
L'Assemblée annuelle reçoit le compte rendu des travaux
du Conseil d'Administration et les comptes du Trésorier ; elle
statue sur leur approbation.
Elle statue souverainement sur toutes les questions relatives au fonctionnement
de l'association, donne toutes autorisations au Conseil d'Administration,
au Président et au Trésorier, pour effectuer toutes opérations
rentrant dans l'objet de l'association, et qui ne sont pas contraires
aux dispositions de la loi du 1er juillet 1901, pour lesquelles les pouvoirs
qui leur sont conférés par les statuts ne seraient pas suffisants.
Elle vote le budget de l'année.
Toutes les délibérations de l'Assemblée Générale
annuelle sont prises à la majorité des membres présents.
Les membres empêchés de se rendre à l'Assemblée
Générale peuvent donner un pouvoir écrit et signé
à un membre de l'association pour le représenter. Un membre
ne peut recevoir plus de dix pouvoirs pour la même assemblée.
ARTICLE 23 :
L'Assemblée Générale extraordinaire statue sur toutes
les questions urgentes qui lui sont soumises. Elle peut apporter toutes
modifications aux statuts, ordonner la prorogation ou la dissolution de
l'association, ou sa fusion avec tout autre Association.
En cas d'Assemblée extraordinaire, les membres qui sont empêchés
de s'y rendre peuvent donner un pouvoir écrit et signé,
à un membre de l'association pour les représenter.
Les membres empêchés de se rendre à l'Assemblée
Générale extraordinaire peuvent donner un pouvoir écrit
et signé à un membre de l'association pour le représenter.
Un membre ne peut recevoir plus de dix pouvoirs pour la même assemblée.
ARTICLE 24 :
Les délibérations des Assemblées Générales
sont consignées par le Secrétaire sur un registre et signées
par les membres du Conseil d'Administration présents à la
délibération. Ces procès-verbaux constatent le nombre
de membres présents aux Assemblées Générales
extraordinaires. Les délibérations du Conseil d'Administration
sont consignées par le Secrétaire sur un registre et signées
par lui et le Président. Le Secrétaire peut en délivrer
des copies qu'il certifie conformes.
ARTICLE 25 :
Les comptes rendus des Assemblées annuelles, comprenant les rapports
du Secrétaire et du Trésorier, sont envoyés à
tous les membres de l'association sur leur demande, après fourniture
de leur part d'une enveloppe timbrée au tarif en vigueur.
VI. MOYENS D'ACTION
DE L'ASSOCIATION
ARTICLE 26 :
Pour éviter les doubles emplois et faire bénéficier
les projets éventuels de tous les concours possibles, les membres
de l'association informeront le Conseil d'Administration de leurs initiatives
et de leurs projets.
VII. REGLEMENT INTERIEUR
- PUBLICATIONS
ARTICLE 27 :
Un règlement intérieur peut être établi par
le Conseil d'Administration pour déterminer les détails
d'exécution des présents statuts.
Il devra être soumis, ainsi que toutes ses modifications ultérieures,
à l'approbation de l'Assemblée Générale. Le
règlement entre toutefois immédiatement en application,
à titre provisoire jusqu'à son examen par l'assemblée.
Il devient définitif après l'agrément de cette dernière.
ARTICLE 28 :
Le Président, au nom du Conseil d'Administration, est chargé
de remplir toutes les formalités de déclaration, publication
et récépissé, prescrites par la loi du 1er juillet
1901 et le décret du 16 août 1901, et relatives tant à
la création de l'association qu'aux modifications qui y seraient
régulièrement apportées par lui.
ARTICLE 29 :
Le Tribunal compétent pour toutes actions concernant l'association
est celui du siège de cette dernière.
Fait en autant d'originaux
que de parties intéressées,
A Courbevoie, le 30
mai 2002
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